Le Maroc Emergent communiquer au monde la vérité marocaine, celle d’un roi émérite et d’un peule particulier, s’avère en ce tournant historique des nations, une tâche décisive et un devoir citoyen de communication. Et à bien réfléchir aux forces motrices qui actionnent les nations, il s’avère que la maturité d’un peuple, de sa doctrine, de son histoire, de sa monarchie ou de son système politique, sollicitent et requièrent l’envergure d’un homme et d’un roi raisonnable et hors du commun, apte à amener les hommes à la raison de donner le meilleur d’eux-mêmes et à leur insuffler la conviction d’aiguiser les volontés et de relever les défis. Ce qui nous rappelle cette pensée fondamentale de Platon, pour qui l’idéalisme était commandé par ses idéaux politiques et son aspiration à la justice et à la vérité, idéaux qui résident dans l’obéissance à la raison, que ce soit à l’échelle de l’individu ou de toute la cité, cité au pouvoir de laquelle il faut mettre un sage, un souverain éclairé, un philosophe-roi pour la gouverner et dans l’individu, mettre le courage au service de la raison, pour dominer les plaisirs, où les égarements. Mohamed 6, roi du Maroc… Intronisé 23ème souverain de la dynastie Alaouite en 1999, de la couronne monarchique marocaine millénaire et 2ème plus ancienne du monde. D’innombrables ouvrages tenteront toujours de cerner les attributs de sa personnalité et la singularité de son règne. Des études et des analyses pesantes ne cesseront de sonder l’envergure et la portée de son ambition pour son pays, cela prouvera toujours l’originalité et la grandeur de l’homme. Il est de la trempe de ces personnalités planétaires qui ne passent pas pour ordinaires ou imperceptibles, mais de ces personnages qui vous insufflent l’envie pressante de méditer, d’écrire, ou de vous livrer à une réflexion que l’on sait passionnante et envoûtante, bien qu’il soit difficile pour un auteur d’exceller dans sa narration sur une œuvre et des œuvres de génie, aussi bien que dans sa prétention de dévoiler les réalisations nombreuses et abondantes d’une période monarchique, aussi vive et aussi énergique que celle du roi Mohamed 6. On aura beau l’écrire, l’exprimer ou le conter, cela restera toujours en deçà de l’œuvre royale et du leadership du monarque, dans ses parcours comme dans sa vitalité et son dynamisme.